L’Institut

Le Complexe des sciences au campus MIL de l'Université de Montréal. (Crédit: UdeM)
Le Complexe des sciences au campus MIL de l'Université de Montréal. (Crédit: UdeM)

L’Institut Trottier de recherche sur les exoplanètes (iREx) est un institut de recherche basé à l’Université de Montréal (UdeM) avec aussi plusieurs membres à l’Université McGill, à l’Université Bishop’s, à l’Université Laval et au Planétarium Rio Tinto Alcan d’Espace pour la vie. Depuis 2020, le centre physique de l’iREx se retrouve au Complexe des sciences du campus MIL de l’UdeM.

Les logos de l’Université de Montréal, de l’Université McGill, de l’Université Bishop’s, du Planétarium Rio Tinto Alcan d’Espace pour la vie et de l’Université Laval.

À ses débuts en 2014, l’iREx comptait à peine une douzaine de membres. Depuis, l’équipe de l’iREx a connu une croissance impressionnante grâce au recrutement actif de nouveaux membres. Notre équipe compte maintenant plus d’une soixantaine de membres en plus de plusieurs stagiaires qui se joignent à nous tous les étés.

Pour mener à bien leur mission, les chercheurs de l’iREx articulent leurs projets de recherche autour de trois grands thèmes : l’observation, l’instrumentation et la théorie. Diverses méthodes observationnelles permettent de détecter des exoplanètes, et ce de manière directe et indirecte. Les observations menées par les chercheurs de l’iREx s’orientent selon différents axes incluant l’imagerie directe de haut contraste, la vélocimétrie infrarouge de haute précision et la spectroscopie de transit.

Une représentation artistique d’une exoplanète et son étoile (M. Weiss/CfA); une représentation artistique d’une naine brune (NASA/JPL-Caltech); une représentation artistique d’une naine blanche et de la Lune pour comparer leurs tailles (G. Parissi); une image de l’astéroïde Vesta (NASA).

Les chercheurs de l’iREx s’intéressent à une multitude de corps célestes tels que:

De plus, plusieurs membres de l’iREx se spécialisent dans l’étude de la formation et de l’évolution des planètes à l’aide de modèles théoriques.

De gauche à droite: l’instrument NIRPS (N. Blind, Observatoire de Genève/Consortium NIRPS/ESO), le télescope spatial James Webb (ESA/ATG Medialab), l’instrument SPIRou (S. Chastenet /CNRS/OMP), l’Observatoire du Mont-Mégantic.

À travers ses collaborations avec le Laboratoire d’astrophysique expérimentale (LAE) de l’Observatoire du Mont-Mégantic (OMM), l’iREx est l’une des seules équipes qui a accès à une aussi grande diversité d’instruments scientifiques performants dédiés à l’observation des exoplanètes. Ses chercheurs étudient, développent et améliorent les techniques d’analyse de données et poussent l’iREx vers les sommets de la recherche sur les exoplanètes. Les projets d’instrumentation de l’iREx incluent l’instrument FGS/NIRISS, qui est la contribution canadienne sur le télescope spatial James Webb, les spectrographes infrarouges à haute précision SPIRou et NIRPS, installés respectivement à Hawaï et au Chili, l’imageur GPI sur le télescope Gemini-Sud et la caméra optique PESTO à l’OMM.